L'auberge des flammes ardentes

Elle le tira de toutes ces forces.

-Allé dehors ! Il faut qu'elle soit au calme !

Mari ferma la porte en la faisant claquer puis revint au chevet de Luuna.

-Luuna, il est temps de le faire voir le jour. Tu vas surment souffrir pendant quelques minutes mais nous en pouvons plus le laisser dans ton ventre !

Luuna lui fit signe de la tête et commenca la travail dur qu'est d'accoucher.
Les cris étaient fort et devenaient de plus en plus rigulier. Mais des minutes plus tard, les cris s'arrèrent enfin et furent remplacés par ceux d'un enfant.
Mari coupa le cordon et l'envellopa d'une couverture. Puis elle alla ouvrir la porte et mit l'enfant dans les bras d'Hatari.

-Voici votre fils cher seigneur

Hatari prit l'enfant dans ces bras. Il pleurait de bonheurs... Il rentra dans la chambre de Luuna, il s'assit au côté d'elle et l'embrassa. Hatari lui dit

Dis moi mon ange, comment veux-tu l'appeler ? Comment veux-tu appeler notre fils ?

Luuna souria et se blottit contre son mari tout en regardant l'enfant.

-Que penses-tu de Laïd ?

Luuna prit l'enfant dans ses bras et le l'embrassa sur le front.
Talen entra dans la chambre avec un recipiant rempli de lait

-Voici le lait !

Luuna rigola en voyant Talen avec sa cruche de lait.

-Talen, cet enfant est trop jeune pour boire de ton lait, seul le lait maternel lui convient.

-Rah mon dieu que je suis bête

- Laïd ... Oui j'aime bien ce nom. Notre enfant s'appelle désormais Laïd. Désormais j'ai deux raison de vivre, toi et ce petit garçons qui est née aujourd'hui. Ce moment merveilleux sera gravé dans ma mémoire.

Hatari mit la main sur la front de sa femme, sa main était froid en touchant le front de sa femme. avec une grande inquiétude il dit à Luuna

Dis moi, tu es si froide ... Tu es sur que ça va ? Tu ... Tu es si froide, regarde, Laïd dort... Je vais le faire dormir dans mon lit, moi je dormirais à la ferme dans la paille. Laïd à besoin de confort. Pour l'instant mon ange, dort bien, repose toi...

Hatari coucha Laïd dans son lit, il embrassa sa femme puis il partit dormir dans la ferme sur un tas de paille.

Hatari rentra dans l'auberge accompagner de son enfant. Il avait 7 ans. Il vit Ezerkanor assis sur une table.

Bien Ezerkanor, on ma dis que tu voulais me parler, parle ! Je n'est pas que sa à faire, mon fils et ma femme m'attende pour l'entrainement de Laïd.

Hatari prit la plume et il signa le parchemin

Voilà Ezerkanor, maintenant, je repart rejoindre ma femme qui dois m'attendre... Tue tous ce qui n'est pas en rapport avec le feu, rien ne dois nous arrêter

Hatari ce leva et dis

Vas y je te fais confiance.

Hatari partit rejoindre sa femme ...

Etant revenu du château d'Elgind, Laîd descendu de la botte de paille et couru chercher Talen.

-Talen, mon père, ma mère, ils sont...

Talen ne laissa pas le jeune enfant finir sa phrase. Il couru en dehors et trouva Hatari ainsi que Luuna tous deux mal en point dans la botte de paille. Talen prit Luuna dans ses bras et la conduisit le plus rapidement dans une chambre à l'étage. Puis il ordonna à deux gardes de la cité d'enfermer le "démon". Les gardes attraprèrent Hatari et l'enfermèrent dans la cave de l'auberge. Puis ils l'attachèrent à l'aide de chaines.

Talen remonta ensuite voir Luuna. Son visage était pâle et son front était froid. Il prit très vite un essui et le trempa dans de l'eau chaude. Puis il l'installa sur le front de Luuna et lui donna quelques herbes qu'elle avala sans difficulés.

Les jours passèrent Luuna se rétabliut très vite de ses blessures. Elle apprit quelques jours plus tard qu'Hatari était toujours enfermé dans la cave. Un soir alors que tous dormaient, elle descendit dans la cave et ouvrit la salle où se tenait Hatari. Elle vint à lui et le détacha. Puis elle caressa son visage et alla se blottir contre lui.

-Je ne t'en ai jamais voulu pour ce geste que tu as put faire au château. Mon coeur battait pour toi, il battra toujours. Mon amour ne cessera que lorsque mes pensées et mon âme quitteront ce monde.

Hatari pleurait, du rouge sortait de ces yeux, ces cornes et ces ailes noir le tromper au yeux des gens mais il avait ces esprit bien en place. Dans les bras de sa femme il lui dit

Je suis désoler, pour ce geste que je t'ai fais, c'est un geste que je n'oublierais jamais. J'espère que Laïd va bien... Laïd... Talen à raison de me laisser là, je peux encore faire du mal, mais je suis heureux que tu sois venue jusqu'à moi a cette heure tardive...

Hatari embrassa Luuna tendrement. Puis Hatari commença à s'énerver en pensant à Laïd, ces yeux devint rouge..

Je veux voir Laïd ! Je veux voir mon fils !

Luuna lui donna rapidement quelques herbes qu'elle était allé cherché. Elle lui fit avaler puis l'embrassa tout en soufflant quelques flammes dans sa gorge afin de sécher les herbes.
Le calmant fit effet. Elle se tourna vers la porte.

-Tu peux venir Laïd.

L'enfant sortit de sa cachette et couru dans la salle. Puis il se blottit dans les bras de son père

Laïd avait une peur que son père se reveille en méchant démons... Hatari commença a avoir une voix en écho et devenue grave...

Mon fils, tu as hériter de ce pouvoir de l'enfer, je ne voulais pas que me voix comme sa, mais sache que j'ai repris mes esprit, tu n'as pas à avoir peur. Si un jour tu venais à te transformer ainsi, metrise toi de toute ta force mon enfant.

Le jour commença a se lever

- Mon petit, rattache moi, si Talen me vois detacher, il me tuera ou pire encore... Tu me reverra demain soir mon garçon.

- D'accord papa...

Laïd attacha son père comme il lui avait demander

- Bien mon fils, va rejoindre ta mère, elle t'attend en haut...

Un homme entra dans la bâtisse. Il alla s'assoir à une table et appela l'aubergiste.Mais il rencontra Luuna et la salua en lui baisant la main.

-Oh! Bien le bonjour noble dame. Un visage si radieux de bon matin ! Voilà de quoi rendre une journée merveilleuse. Je recherche un abrit. Auriez-vous quelques chambres de libres ?

L'aubergiste vint à lui.

-Il nous reste deux chambres.

-Bien alors je dormirais içi cette nuit.

L'homma alla s'assoir à une table et observa Luuna qui aidait Talen à ranger la réserve. Puis il vit le jeune garçon qui la suivait dans toutes les salles. Il se leva puis se mit à genoux.

-Viens petit, j'ai quelque chose pour toi.

Il sortit un poignard de sa sacoche et le tendit à l'enfant.

-Prends ceci, ce poignard appartenait à mon père. J'aimerai de l'offrir.

L'enfant prit joyeusement l'arme et la montra à sa mère. Mais l'enfant bouscula sa mère qui faillit tomber au sol.Rilan la rattrapa et la prit dans ses bras.

-Oh veuillez m'excuser noble dame. Je ne voulais point vous busculer de la sorte, mais une si belle peau ne serait permise de tomber au sol

Luuna regarda l'homme mais rien en lui ne l'interressait malgré que celui-çi restait très charmand.Sachant que le maléfice devait être terminé grâce à ses plantes, Luuna se baissa et chuchota à son fils d'aller chercher Hatari.

L'enfant coura jusque dans la cave et détacha son père. Puis il le tira par le bras et l'amena dans la salle principale.

-Viens voir papa, y'a un gentil monsieur qui prend moman dans ses bras.

Pendant ce temps Luuna compris très vite le petit jeu du voyageur.

-Veuillez me pardonner, mais mon coeur appartient à un autre.

Lorsqu'elle vit Hatari, elle s'écarta de Rilan et alla se blottir dans les bras de son mari.

Hatari regarda sa femme et son enfant. Puis son intention était porter sur cette homme. Il lui demanda

Toi que fais tu dans l'auberge de Xineck, Tu es juste là pour faire la cour à ma femme... Parlez ou je vous tranche la gorge.

Hatari prit une énorme masamune et la mit sur gorge de l'homme...

Rilan regarda la lame qui se tenait sous sa gorge.

-Je me nomme Rilan, je venais içi pour trouver un abrit mais aussi un réconfort. Veuillez me pardonner si votre femme est aussi belle qu'une rose s'ouvrant sous la rosé du matin.

Rilan compris qu'il ne fallait pas plaisanter avec Hatari.

-Je recherche un vieille ami du nom d'Hatari. On m'a dit qu'il vivait dans cette cité. Peut-être le connaitrez-vous?

Hatari enleva la masamune et la mit sur son dos.

- Tu cherche Hatari. Tu la en face de toi. Mais mon petit, fait attention à ton langage avec ma femme... Il y a des limites n'est-ce pas.

Rilan regarda l'homme de plus près. Voilà fort longtemps qu'il n'avait pas vu son ami.

-Hatari...Je t'aurais vu plus grand...Je suis Rilan, fils de Jilius. Nous étions de très bons amis à notre jeune âge. Mais je ne viens pas pour faire parler de notre apssé. Une dame du nom de Lilan, je suppose que tu te souviens d'elle, celle que tu aimais tant lors de ton jeune âge, souhaite te rencontrer. Bien entendu si tu acceptes l'enfant et la femme resteront içi.

Hatari regarda sa femme et son enfant, il pensa au passé... Il baissa les yeux et lui dis

Bien, accompagne moi à elle. Si elle souhaite me rencontrer, je suis d'accord... Elle doit avoir quelqu'un désormais donc je pense que je n'est rien à craindre. Rilan, conduis moi à elle...

Rilan salua Luuna et l'enfant puis conduisit Hatari vers une carosse qui attendait devant la porte de l'auberge.

-Lilan a tout prévu pour toi.

Mais les portes de la diligence se fermèrent et des chaines attachèrent Hatari.

-Désolé mon ami, mais le sage nous a beaucoup payé pour que tu puisses te marrier avec Lilan. Ta femme et ton enfant n'aurons rien. Luuna m'épouseras et toi tu l'oublieras.

Rilan sortit de la charette et invoqua un bouclier de protection afin qu'Hatari ne puisse sortir du véhicule.

Hatari resta sans voix devant ce que disais Rilan. Il commença a se retransformer, mais l'invocation du bouclier l'empêcher de sortir. Ces Ailes noir et ces cornes lui faisais mal dans ce carosse trop petit.

Rilan ! Traitre ! Ce sage de malheurs nous laissera jamais tranquille ! Je te jure que si je sors d'ici je te détruit !!!

Mais Hatari ne pouvais que parler, il était impuissant... Le carosse partit en directement du château de dame Lilan.

Rilan riait aux éclats mais une ombre se tanit derrière lui. Il se retourna et couru de frayeur. -Non je t'en prie ne me fais pas de mal.

Dans les rues ces pas se faisaient entendre mais un bruit de galop de cheval recouvrait le bruit de ces pas.

Les galops se rapprochaient de plus en plus de Rilan. Une grande faux sifflait dans le vent sous les pas du cheval.
Rilan courait de plus en plus, mais la faux arriva à sa hauteur. Les bruits de pas s'arretèrent...Le sang coulait à flot sur les pavets de la cité . Lancélias venait de tuer Rilan...Puis il approcha son cheval de la charette et grâce rouges de l'enfer il arriva à éténuer le bouclier qui se tenait autour du carrosse. Il détruisit la porte grâce à sa faux.

Il placa son cheval devant l'entrée et regarda Hatari encore enchaïné.

-Je t'avais pourtant demandé de protéger ma soeur, jeune guerrier.

Lancélias sourit et détacha Hatari. Puis il l'aida à se lever en lui tendant la main.

Hatari sorti et regarda Lancelias

Je sais, mais je me suis fais avoir en beauter par ce traitre. dire qu'autre fois il était un de mes amis. Lancelias, la vie a beaucoup changer depuis notre dernière rencontre. J'ai un enfant nommer Laïd. Et j'aimerais bien qu'il parte en pèlerinages avec toi, pour maitriser ces pouvoir. Moi je lui est apprit l'art du combat, mais ces pouvoir, je ne peux pas les développer, je voudrais bien que tu reste ici quelque temps pour aider mon fils à maitriser ces pouvoirs. Mais avant sa, va voir ta soeur, je pense que vous avez beaucoup de chose à vous dire...